Enrica Galazzi

Je suis très touchée par la disparition de M. Dabène avec qui j’avais discuté d’un sujet de doctorat, à Milan, à la veille de mon départ en France au début des années 1970. Il m’avait proposé de travailler sous sa direction sur le français des immigrés italiens dans la région de Grenoble. Ce projet qui m’avait beaucoup plu, n’avait malheureusement pas pu se réaliser à cause d’un blocage de la part de mon université. J’ai beaucoup regretté. Je garde un précieux souvenir de nos échanges. 
Talentueux et enthousiaste : en l’écoutant, on avait envie de travailler avec lui.
Je participe à la douleur de sa famille et de ses amis.