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Néologie dans des graffitis-slogans féministes qui couvrent les murs d’un quartier, représentations que des collégiens et collégiennes ont des espaces qu’ils traversent ou investissent… Les recherches de cette action questionnent les multiples rapports entre les pratiques langagières et les discours d’une part, et les espaces en mutation d’autre part.
Cette action s’intéresse aux relations entre langage et espaces. Elle s’inscrit en sociolinguistique, majoritairement mais non exclusivement en sociolinguistique urbaine, considérée comme une approche des usages et des représentations linguistiques, des signes et des discours produits dans et sur les espaces urbains ou objets d’urbanisation. Les travaux ont principalement pour objet d’analyser les situations et les dynamiques sociolinguistiques liées à l’espace – au sens large – et particulièrement aux mutations urbaines. Cette action prolonge ainsi les nombreux travaux menés au Lidilem sur les usages socio-langagiers urbains au sens large : les paysages sociolinguistiques et les écrits dans la ville, la diversité et le plurilinguisme, les collaborations autour du périurbain et de la circulation de traits linguistiques urbains, les pratiques langagières juvéniles et l’identité, les effets sociolinguistiques de la gentrification, etc. Les travaux qui la constituent s’appuient sur des méthodes et des observables divers, allant d’observations directes et de recueils de données pluri-sémiotiques (données langagières, discursives, graphiques et iconographiques) à l’élicitation de données linguistiques ou discursives par entretiens ou questionnaires.
Membres
Responsable : Cyril Trimaille
Membres : Guillone Balaguer, Violaine Bigot, Claire Hugonnier, Marinette Matthey, Claudine Moïse, Martine Pons
Membres extérieurs : Camille Vorger (Université de Lausanne), Kosuke Hinai (Univ. de Fukuoka)
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