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Séminaire

Séminaire Axe 3

Séminaire Le 14 janvier 2022
Complément date
10h

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu
Batiment Stendhal - Salle D203

Azadeh Pirooz

Evaluation des compétences collocationnelles : méthode de recueil et d’analyse d'un corpus écrit d’apprenants en contexte universitaire

Marie Peuzin

Interactions enseignant·es-élèves en école maternelle : des pratiques genrées ?

Comlan Fantognon

Variation sociolinguistique et Adaptation/réécriture (simplification) de textes : Construction d’un dispositif numérique de formation enseignante en FLS

PHILEDUC : Pratiquer la philosophie avec les enfants : s’aider d’outils et de ressources sans trahir l’esprit de la démarche

Séminaire Le 13 avril 2022
Complément date

13h30-15h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Le séminaire mensuel Philéduc se déroule en présentiel sur le campus universitaire de Saint Martin d’Hères, à l'amphi de la Maison des Sciences de l'Homme (1er étage). Il peut aussi être suivi en ligne avec un lien ZOOM pour les personnes qui ne sont pas sur Grenoble, mais nous vous encourageons à venir partager in situ questions, réflexions ...
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Présentation par Mathieu Gagnon professeur à la Faculté d’éducation de l’Université de Sherbrooke

Il n’est pas nécessairement simple d’animer un atelier de philosophie. En effet, lorsque nous souhaitons nous engager dans une telle pratique avec les enfants — et cela est particulièrement vrai pour les enseignants —, plusieurs couches de complexité s’additionnent : libération d’espace dans la grille horaire, compte tenu de la charge de travail déjà lourde et du fait que la philosophie ne fait pas partie des programmes de formation ; rapport au savoir se modifié, et avec lui la posture enseignante ainsi que le contrat didactique; manque de temps pour pouvoir s’engager dans des processus de formation continue et parfaire notre compréhension de la philosophie pour enfants; multiplicité des approches proposées et quantité imposante de matériel disponible; etc. Nous pouvons dès lors aisément comprendre qu’une personne enseignante, déjà surchargée et ayant ses habitudes, en perde son latin ou éprouve un sentiment de tournis face à un tel projet. À cet égard, en décembre dernier paraissait un ouvrage (Pratiquer la philosophie au primaire. Conseils, activités thématiques et littérature jeunesse) dont l’un des mandats posés par la maison d’édition était justement de permettre aux personnes enseignantes de se lancer dans cette pratique en ayant accès à des outils et ressources, et ce, sans nécessairement devoir consacrer une grande quantité d’heures pour se former. La quadrature du cercle en quelque sorte! Nous croyons néanmoins avoir réussi à relever en bonne partie ce défi, avec toutes les limites que cela impose. La communication proposée sera l’occasion de présenter les principaux éléments de cet ouvrage, lesquels seront illustrés par quelques exemples (fiches, modus operandi, trucs, principes, etc.) afin de voir comment il est possible de recourir à des outils et des ressources, sans trahir l’esprit de la démarche.

PHILEDUC : Schéma-image et raisonnement dans les CRP

Séminaire Le 26 janvier 2022
Complément date

13h30-15h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire
Le séminaire mensuel Philéduc se déroule en présentiel sur le campus universitaire de Saint Martin d’Hères, à l'amphi de la Maison des Sciences de l'Homme (1er étage). Il peut aussi être suivi en ligne avec un lien ZOOM pour les personnes qui ne sont pas sur Grenoble, mais nous vous encourageons à venir partager in situ questions, réflexions ...

Par Jean-Pascal Simon & Anda Fournel, Laboratoire Lidilem, Université Grenoble Alpes

Il est courant que la philosophie soit envisagée avec une vision intellectuelle comme une activité centrée sur la compréhension de concepts abstraits. Cela prive l'exercice philosophique de la participation du corps et des sens. Si l'on rejette le dualisme corps-esprit, comme l'ont fait Dewey, Johnson, etc., alors nous pouvons considérer l'acte de penser à partir de nos propres expériences, le sujet pensant étant constamment engagé dans des interactions avec le monde et les autres.
La communication que nous présentons tente de voir si les pratiques du dialogue philosophique inspirées par une conception expérimentaliste de l'école et de la vie, ainsi que par la méthode d'enquête développée par Dewey, mettent en œuvre une cognition incarnée.
Pour le savoir, nous avons choisi une discussion comme étude de cas dont la question à débattre est « d'où viennent les pensées ? » Pour cela nous avons mobilisé le concept de schéma-image ou  « schème-image » (Langacker, 1976 ; Talmy, 1983 ; Barbané, 2013), repris par Johnson (1987 : 29). L’analyse que nous présentons tente de voir si et quels schéma-image sont mobilisées par les participants de cette discussion et comment ils contribuent à une conceptualisation collective de la pensée.

Vidéo de la séance

 

DéLiCorTAL : La théorie des actes du langage comme outil de décodage de l'im/politesse dans le rituel des salutations en français métropolitain

Activités collectives, Séminaire Delicortal Le 25 novembre 2021
Complément date

15h30 à 17h00

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Batiment Stendhal - Salle G105

La théorie des actes du langage comme outil de décodage de l'im/politesse dans le rituel des salutations en français métropolitain.
Analyse du
dys/fonctionnement de la formule d'ouverture "bonjour"

Ruth de Oliveira
Université du Cap, Afrique du Sud

Résumé

La fonction sociale des salutations est, sinon d’assurer l’optimalité des relations interpersonnelles, du moins ne pas les détériorer.
En ce sens, les salutations s’intègrent aux codes de politesse : ceux qui ne s’y conforment pas s’exposent à des sanctions et / ou génèrent des conflits sociaux de tout ordre. En effet, comme Leech (1983), on ne saurait voir la politesse et la coopération (dans la conception gricéenne du terme) comme des principes interactifs contradictoires alternant la priorité en fonction des exigences du contexte. Comme le dit Leech dans sa formule célèbre, « si vous n’êtes pas poli avec votre voisin, le canal de communication entre vous s'effondrera et vous ne pourrez plus emprunter sa tondeuse ». (1983: 82)
Dire "bonjour" est un acte illocutoire, donc une action. Pour qu'une action soit considérée comme un acte illocutoire, elle doit être: (i) communicative; (ii) socialement performative et (iii) cérémoniale. (Andersson)

Aspects et enjeux sociaux du langage

Activités collectives, Séminaire Aspects et enjeux sociaux du langage Le 20 mai 2022
Complément date

10h30-12h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

MSH Alpes - Amphi

Les accents en formation linguistique en contexte d’insertion : questions sociolinguistiques et enjeux de classe(s)

Myriam Dupouy, université de Brest

Résumé à venir.

Sortie de la guerre en Colombie : traces discursives de la mémoire et de l'oubli

Beatriz Villa, université Grenoble Alpes, Axe 4, LIDILEM

Résumé à venir.

Aspects et enjeux sociaux du langage

Activités collectives, Séminaire Aspects et enjeux sociaux du langage Le 8 avril 2022
Complément date

10h30-12h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

MSH Alpes, Amphi

Citoyennetés autochtones en tension: analyse ethnographique de la performativité du discours dans le Guatemala de l’impératif minier

 Karine Vanthuyne, Université d'Ottawa/Collegium de Lyon

Ces dernières années, le renouvèlement au Guatemala de la mobilisation politique des Autochtones sur les cendres à la fois du génocide (1981-1982) et du mouvement maya post-conflit (1985-1999) a largement été étudié. Si ces études ont permis d’identifier la source de cette remobilisation comme étant l'impératif minier que connait la région depuis la fin de la Guerre Froide, peu d’entre elles, toutefois, nous renseignent quant à ce qui soutient ou remet en question cette mobilisation, au jour le jour. Cette communication examinera cet enjeu, à partir d’une ethnographie menée depuis 2014 en collaboration avec le Frente de Defensa Miguelense (FREDEMI), un mouvement populaire ayant lutté contre la Mine Marlin (2005-2017) dans le département de San Marcos. Plus spécifiquement, à partir d’une analyse ethnographique de la performativité du discours (Austin 1962; Butler 1990), je mettrai en lumière la nature fondamentalement inachevée de la (re)construction des citoyennetés autochtones dans le Guatemala contemporain. Ce faisant, je soutiendrai combien les ethnographies de l’activisme anti-mine sont plus largement révélatrices du "cycle vicieux de l'excès, de l'épuisement et de l'endurance" (Povinelli 2011, 128) auquel semblent être nécessairement condamnés ceux qui s'efforcent de persister dans la seule manière d’être au monde qu'ils trouvent juste.

 

Aspects et enjeux sociaux du langage

Activités collectives, Séminaire Aspects et enjeux sociaux du langage Le 4 mars 2022
Complément date

10h30-12h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

MSH Alpes - Amphi

Les mots polémiques : discours en confrontation dans l’espace public québécois

Geneviève Bernard Barbeau, université du Québec à Trois-Rivières. 

Résumé à venir.
 

Les interactions cliniques, éducatives et scientifiques en santé pédiatrique : réflexion sur les enjeux de communication en terrain fragile.

Claude-Julie Bourque, université de Montréal. 

Résumé à venir.

Aspects et enjeux sociaux du langage

Activités collectives, Séminaire Aspects et enjeux sociaux du langage Le 18 novembre 2021
Complément date

10h30-12h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Petite salle des colloques

Comment apprécier la force critique de nos concepts ?

Manon Him-Aquilli, université de Franche-Comté

Après être revenue sur différentes postures théoriques envisageant de manière opposée ce qu'est une recherche critique en SHS, je soumettrai à la discussion une réflexion collective en cours concernant les conditions de production de la recherche actuelle et leurs potentiels effets de récupération politique et/ou économique de concepts pourtant pensés comme "critiques" au départ. Je m’appuierai sur certains concepts qui mobilisent actuellement la sociolinguistique comme ceux « glottophobie » ou « intersectionnalité » et, à partir d’exemples précis, je verrai comment ils sont repris et réutilisés au-delà des champs scientifiques.

Accentism, et alors ?! Un exemple d’intervention pour contrer la discrimination basée sur l’accent.

Alice Henderson, université Grenoble Alpes, Axe 4 du LIDILEM

Selon Christophe Euzet, député (LRM) de l’Hérault dans une tribune publié dans Le Monde le 9 août 2020, l’accent serait « le dernier bastion de la discrimination ». Il le qualifie d’une forme de racisme et a réussi le 26 novembre 2020 à faire adopter par l’Assemblée National sa Proposition de loi 2473, qui :
vise à promouvoir la diversité de prononciation de la langue française en prohibant les ‘discriminations par l’accent’ que l’on constate factuellement dans les fonctions impliquant, tout particulièrement, une expression publique : le texte entend faire évoluer les mentalités.
 
Dans ce séminaire, j’aborderai la gestion de la diversité et de l’égalité en traitant l’accentism au sein d’une grande université publique en France, un contexte social très approprié pour observer l’impact qu’a l’accent sur les catégorisations, les assignations langagières et identitaires. Ce microcosme constitue mon terrain et mes participants sont les acteurs de divers statuts, langues et accents : les étudiants, les enseignants et le personnel non-enseignant. Même au sein de ce contexte explicitement plurilingue et pluriculturel, on a néanmoins tendance à passer sous silence la co-existence de plusieurs variétés d’une même langue et des représentations qui y sont associées.
 
L’accentism (aussi appelé discrimination linguistique ou glottophobie selon Blanchet, 2016) est problématique à l’université puisque, quand ses acteurs se rencontrent sur leurs lieux de travail, ils éprouvent des difficultés de compréhension orale liées à la diversité des prononciations, ici du français et de l’anglais. Ces difficultés peuvent nourrir ou renforcer des préjugés, ou révéler les valeurs en conflit, menant souvent à une discrimination – qu’elle soit positive ou négative, consciente ou non (Hahn & Gawronski, 2019).
 
Comprendre un parler marqué par un accent ‘autre’ peut engendrer une fatigue cognitive réelle qui, ensuite, impacte l’attitude que nous avons envers celui/celle qui parle et notre capacité à nous approprier de l’information via leur voix (voir Gao et al., 2013). Ces deux volets de l’accent, cognitif et social, le situent comme objet de recherche clairement dans le champ de la psychologie sociale. Cependant, n’étant pas psychologue mais souhaitant faciliter les interactions orales sur les lieux de travail, j’ai mobilisé mes compétences de linguiste et de didacticienne de l’oral pour développer ce qui s’appelle une intervention de ‘prise de distance’ (Vorauer, 2013) auprès de ces différents publics.  J’utilise le terme ‘intervention’ pour désigner toute action motivée par l’intention d’interférer avec un processus afin de l’arrêter ou le modifier (American Psychological Association).


Mon objectif est de préparer les ‘usager·es’ d’un campus universitaire aux interactions orales entre locuteurs·trices de langues ou accents différents. Concrètement, lors de mes interventions les participant·es (étudiant·es, employé·es des BUs ou de la scolarité) sont confronté·es à leurs biais implicites, ce qui va constituer une précondition pour la modification des évaluations discriminatoires (Hahn & Gawronski, 2019 ; Roessel, et al. 2017, 13 et 2020)
 
En contraste avec une approche de l’oral centrée sur l’individu qui parle, j’argumente en faveur d’une focalisation sur l’individu qui écoute, car les recherches nous montrent qu’il est possible (voire plus facile) d’adapter son écoute que sa façon de parler (voir Skoruppa & Peperkamp, 2011 ; Baese-Berk et al., 2013).
 
Pour résumer, après avoir situé mes recherches dans un cadre théorique interdisciplinaire, et expliqué mes choix méthodologiques, je présenterai des résultats quantitatifs et qualitatifs de plusieurs interventions auprès de ces publics.
 
References

L'entrée dans l'écrit des jeunes adultes et adultes via leurs besoins numériques

Séminaire Le 24 novembre 2021
Complément date
13h30 - 15h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Salle des Actes, bâtiment Stendhal Z, rez de chaussée
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Durant cette séance, Carole Burget nous invite à réfléchir à la médiation numérique auprès d’un public éloigné de l’écrit. Nous essaierons d’imaginer ensemble en quoi cette forme d’accompagnement peut constituer l’opportunité d’une double appropriation. Oui, rapprocher du numérique peut rapprocher de l’écrit. Mais comment ? Nous verrons qu’une dynamique de co-construction d'un dispositif est possible et souhaitable. Nous verrons que partir de la demande est source de motivation et de (double) apprentissage.
Enfin, Carole Burget nous présentera des idées d’ateliers que nous pourrons faire évoluer.

Intervenante : Carole Burget

Le séminaire sera en hybride dans la Salle des Actes (Bât. Stendhal) de l'Université de Grenoble, sur Zoom, et podcasté sur la plateforme vidéo de l'Université.

Pour assister au séminaire à distance, connectez-vous à l'adresse suivante le jour du séminaire :
https://univ-grenoble-alpes-fr.zoom.us/j/99086015239?pwd=WHFZclRkNC9uRHBMZ2orbUlFNDl5UT09
Meeting ID: 990 8601 5239
Passcode: 021900

Pad partagé durant le séminaire

Lien temporaire vers le pad : https://mensuel.framapad.org/p/alphanumuga-9r0w?lang=f

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Vidéo du séminaire et supports de présentation

N'hésitez pas à contacter la formatrice carole.burgetatcarburalpha.net (carole[dot]burget[at]carburalpha[dot]net) pour poursuivre la discussion, pour tout échange, toute demande de cartes mentales déroulées durant le séminaire, ou encore pour obtenir le lien vidéo, une fois l'enregistrement nettoyé de ses coquilles techniques et l'accès par séquence rendu possible.

Ce séminaire

Ce séminaire est organisé dans l’action collective Pédagogies Multimodales

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Intervenante

Carole Burget

Élevée en banlieue parisienne et formée initialement en Allemagne à la traduction, la "mise en mots" fut ma force tout au long de mon parcours professionnel, mon ticket d'entrée pour d'autres activités, telles que la gestion de fonds de recherche et la coordination d'événements en milieu académique. Au cours d'une expérience bénévole d'écrivaine publique je pris conscience du degré d'éloignement de l'écrit d'une partie de la population, allophone et francophone. Me former ces trois dernières années à l'alphabétisation (DU DILA Lyon) et à la didactique du français écrit (Master 2 UGA) ainsi qu'à l'approche Silent Way (Caleb Gattegno) m'a permis de trouver mon propre chemin pour leur venir en aide à ceux qui sont en difficulté avec le lire-écrire. Aujourd'hui la démarche pédagogique qui me caractérise repose sur trois piliers: partir de la demande des participants, ne pas faire à leur place, co-construire, avec eux, chemin faisant, un dispositif hybride, mi-papier, mi-numérique.

Lieu

Salle des Actes, Bâtiment Stendhal Z, rez de chaussée

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Contact

Sylvain Coulange
sylvain.coulangeatuniv-grenoble-alpes.fr (sylvain[dot]coulange[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr)

Séminaire Axe 3 : Linguistic aspects on lexical acquisition

Séminaire Le 16 novembre 2021
Complément date
14h30-15h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu
Bâtiment Veil, salle 103

Ramona Kunene Nicolas,
Maitresse de Conference à l’Université de Witwatersrand (Wits University), Linguistics Department, Johannesburg, South Africa.


 This talk seeks to examine how children speakers of a Bantu language, isiZulu develop their lexical competencies in early child acquisition. Existing literature uses the Child Directed Inventory (CDI) to track how lexical acquisition occurs. The frequency of input has a large input on what a child learns first.
 
Most literature does not discuss the effect of how the linguistic structure of a language can have an impact on how the developmental trajectory. The study of lesser-studied languages, such as Bantu languages, further provides much-needed information on the cognitive issues at work before a child is a competent speaker. This talk seeks to discuss the interplay between linguistic theory, linguistic structure and acquisition in Bantu language development and looks at how this may differ from existing literature of languages such as the French or Italian language.
 

Présentation (PDF, 2.16 Mo)

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